Un malware à retardement s’est glissé sur Google Play

Google Play a été purgé en urgence de trois applications qui hébergeaient un malware redirigeant vers des contenus malveillants via des messages d’alerte.

Tout est parti d’un message posté dans la soirée du 23 janvier sur les forums d’Avast. L’éditeur de sécurité IT d’origine tchèque a été informé, par l’un des utilisateurs de son antivirus mobile, de la probable présence d’un malware sur Google Play.

Il s’est écoulé dix jours avant qu’Avast ne communique l’information à Google… qui a réagi en retirant, ce mercredi 4 février, trois applications dans lesquelles l’agent malveillant en question s’était infiltré.

En tête de liste, le jeu de cartes Durak, téléchargé entre 5 et 10 millions de fois en quelques semaines, d’après les statistiques du Play Store.

Les deux autres applications touchées étaient également classées dans la catégorie « Divertissement ». La première consistait en un test de QI ; la deuxième proposait une approche ludique de l’histoire russe.

Ces trois applications – qui trouvent justement leurs racines en Russie (sans qu’on n’en connaisse précisément les créateurs) – auraient dû être bloquées selon la politique en vigueur sur le Play Store et à laquelle sont soumis les développeurs.

Un motif en particulier aurait dû motiver leur suspension : l’affichage de publicité à travers le système de notification d’Android, alors même qu’il ne s’agissait pas d’une « fonctionnalité à part entière » desdites applications. Et pour cause : c’est précisément le malware qui les déclenchait.

Alerte(s) à la pub

Plusieurs utilisateurs des forums Avast expliquent avoir signalé le problème à Google « début janvier » et déplorent l’absence de réaction du groupe Internet américain.

Ils ont tous détecté plus ou moins les mêmes symptômes : à chaque déverrouillage de leur appareil mobile (smartphone ou tablette), une page Web – ou une notification – s’ouvre pour afficher un message d’alerte.

Connexion Internet lente, infection virale, système d’exploitation pas à jour, fichiers illicites détectés en mémoire : quel que soit le désagrément, l’utilisateur est invité à prendre des mesures immédiates.

Mais s’il suit les conseils prodigués, il est redirigé vers des contenus malveillants. Aussi bien des sites Internet hébergeant des scripts malveillants que des applications volant des données personnelles ou envoyant des SMS surtaxés.

Pour ne pas éveiller les soupçons, le malware fait preuve de… patience. Il ne s’active qu’à deux conditions : que l’application infectée soit lancée au moins une fois et que l’appareil soit redémarré par la suite.

Dès lors, un compte à rebours s’enclenche. Les premiers comportements suspects ne sont généralement perceptibles qu’au bout d’une semaine. Il faut parfois même attendre jusqu’à un mois. Ce qui rend le malware d’autant plus difficile à détecter.

Trois réseaux publicitaires « légitimes » sont exploités pour afficher les messages d’alerte. Les instructions sont contenues au sein même du paquet d’installation (APK), dans un fichier nommé ads_settings.json.

Des commandes peuvent être reçues depuis un serveur distant via la composante mobi.dash.overapp.DisplayCheckService. La vérification du redémarrage de l’appareil est effectuée par mobi.dash.overapp.DisplayCheckRebootReceiver. Il est même possible de modifier la page d’accueil du navigateur avec mobi.dash.homepage.AdsHomepageUtils.

Ci-dessous, une démonstration du malware en vidéo par l’utilisateur qui a découvert le pot aux roses :


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Oracle vante ses offres cloud aux directions financières

Aux côtés de KPMG, Oracle a présenté ce matin le versant « finance » de son ERP cloud. Prépackagée, l’offre présente des processus, des tableaux de bord et des workflows préparamétrés que l’on peut aussi personnaliser. Selon Gartner, plus de 80% des directions financières utiliseront des applications SaaS en 2017.

Le passage au cloud arrive en tête des technologies que l’on associe aux projets de transformation numérique. C’est ce que souligne une étude réalisée fin 2014 par KPMG auprès d’entreprises de toutes tailles au niveau mondial. Les bénéfices attendus du cloud ne sont plus seulement l’optimisation des coûts. Cette raison n’est maintenant invoquée qu’en 2ème position par les candidats à son adoption, derrière l’amélioration de la productivité et l’efficacité métier, soulignait ce matin Cédric de Lavalette, associé chez KPMG, sur la conférence Finance Day organisée à Paris par Oracle. L’innovation arrive en troisième position. A l’inverse, la sécurité reste toujours le frein principal aux applications dans le cloud, citée par 23% des répondants. Cette crainte est toutefois en nette baisse puisque ce pourcentage représentait le double dans la précédente étude de KPMG, il y a deux ans. Les autres réticences vis-à-vis du cloud portent sur la complexité (16%), les questions de réglementation (16%), l’appropriation du logiciel (15%) et la confidentialité (9%).

Dans ce paysage, les directions financières ont une position centrale dans l’entreprise. Elles sont impliquées dans les décisions d’investissement et recherchent de la flexibilité, mais leur degré de maturité est légèrement en retrait par rapport à d’autres directions métiers. Néanmoins, cette situation est en train d’évoluer et, selon une étude du cabinet Gartner, en 2017 plus de 80% des directions financières utiliseront des applications SaaS. « Si l’on met de côté l’aspect du coût, l’enjeu n°1 c’est la simplification, c’est-à-dire la standardisation et l’optimisation des processus », a indiqué ce matin Cédric de Lavalette. KPMG résume en trois points les bénéfices de solutions ERP dans le cloud pour les directions financières : productivité, rapidité (une dimension renforcée par l’accès à des outils de collaboration) et l’appropriation du logiciel par les utilisateurs. « Et le reporting est intégré dans les processus », rappelle Cédric de Lavalette.

Un réseau social pour accélérer les échanges

A sa suite, Valérie Vinges, consultante avant-vente chez Oracle a livré une démonstration de l’application ERP Cloud d’Oracle portant sur la comptabilité générale. Le logiciel propose des rôles à associer à chaque utilisateur, avec des tableaux de bord (dashboards) reliés à chaque rôle. Les menus sont disponibles dans une dizaine de langues. Les tableaux de bord sont préparamétrés et prêts à l’emploi, faisant notamment apparaître les journaux, avec les écritures en cours de traitement. On peut aussi les personnaliser et effectuer des analyses sur les données en temps réel. L’application se complète de fonctions de réseau social qui permettent aux différents utilisateurs de collaborer autour de certains thèmes ou dans le cadre de conversations génériques sur des sujets courants de la comptabilité générale comme les journaux. Dans l’exemple donné ce matin, la « juriste maison » alertait sur le montant des provisions lié à un fournisseur, en pointant, via un fichier pdf, un point contractuel particulier.

Le logiciel cloud propose par ailleurs des workflows clés en main qui peuvent également être personnalisés. « On peut à tout moment ajouter des commentaires et modifier les conditions d’un workflow », a souligné la consultante avant-vente. Pour la direction générale d’une entreprise, l’application peut être utilisée à partir d’une tablette, par exemple pour consulter des rapports présentant des états financiers.

Le prépackagé standard peut couvrir une grande partie du besoin 

Le déploiement de l’application cloud se fait de façon itérative, a rappelé Cédric de Lavalette en énumérant les étapes d’adoption du logiciel : périmètre du projet, mapping des processus, prototypage, phase d’optimisation des processus et d’intégration. Par rapport à des logiciels installés « on-premise » (sur site) « nous sommes sur des projets 2 fois plus courts, sans effets de tunnel », a-t-il indiqué en précisant que, par rapport aux projets waterfall, il était possible en mode SaaS de limiter le déploiement à une entité et un sous-processus, ce qui contribue à réduire les coûts. Selon lui, le « prépackagé standard peut couvrir une grande partie du besoin ».

Cette application de gestion financière dans le cloud a été lancée par Oracle à l’occasion de sa conférence Open World, à l’automne 2013. Elle démarre maintenant en France et suscite l’intérêt d’entreprises qui n’utilisaient pas jusque-là d’applications Oracle, mais aussi de clients existants, selon Valérie Vinges. Cette offre cloud est choisie par de petites sociétés en forte croissance qui veulent se développer, constate-t-elle. Elle est également regardée par des entreprises plus grandes, pour équiper certaines de leurs business units ou de leurs filiales à l’international. Sur son 2ème trimestre fiscal, clos fin novembre, Oracle aurait signé plus de quarante clients sur ses offres ERP SaaS en Europe de l’Ouest, a indiqué l’éditeur ce matin. Il n’est pas le seul à vouloir simplifier l’utilisation des applications de gestion de financière pour les DAF et les directions générales. SAP, notamment, a lancé il y a quelques mois une solution SaaS baptisée Simple Finance.


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Enterprise Cloud Computing SaaS, PaaS, IaaS | Oracle Cloud

Microsoft Researchers Get Wrapped Up in Smart Scarf

In the quest to make wearable electronics useful, researchers take a close look at the neck.

moodscarfx299_0Microsoft researchers have created a scarf that can be commanded to heat up and vibrate via a smartphone app, part of an exploration of how the accessory could eventually work with emerging biometric- and emotion-sensing devices. It could, perhaps, soothe you if a sensor on your body determines you’re down—a function that could be particularly useful for people who have disorders such as autism and have trouble managing their feelings.

A paper on the project, called Swarm (Sensing Whether Affect Requires Mediation) was presented on Sunday at the Conference on Tangible, Embedded, and Embodied Interaction at Stanford University.

Michele Williams, a paper coauthor and graduate student at the University of Maryland, Baltimore County, who worked on the project while she was an intern at Microsoft Research, says the group chose to focus on a scarf in part because it can be a discreet way to house technology, unlike, say, a medical device.

The current prototype—which the researchers made after consulting with people with autism and hearing and visual disabilities—is a flexible laser-cut garment made of hexagons of industrial felt overlaid with conductive copper taffeta. Some of the modules can heat up, while others can vibrate.

All the modules are controlled by one master module that is also responsible for communicating with the smartphone app over Bluetooth. The modules link together with metal snaps and are interchangeable; if you want a heat-producing module closer to your stomach and a vibrating one on your neck, you can unsnap the chain and reconfigure it, says Asta Roseway, a principal research designer at Microsoft Research and a paper coauthor.

Roseway demonstrated for me over a video call how the scarf works. She pulled it off a mannequin and wrapped it around her neck, unsnapping one module and then snapping it on to the end of the chain. She turned it on and paired it with a Swarm app on a smartphone, then turned on the vibration function.

Though the metallic design of the scarf might appeal to some, it’s meant to fit inside a sleeve when worn, researchers say. That way, “you don’t have to show everyone, ‘Hey I’ve got tech all over me,” Roseway says. “It’s subtle.”

Williams would like to add the ability to cool the wearer—potentially useful for calming you down since sweat can be an indicator of stress—and add a music player so people could activate custom playlists based on their moods.

For now, though, the project is more concept than creation. Because Swarm was a project undertaken during Williams’s internship, it’s unclear whether work on it will continue.


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10 Most-Required Skills For An Engineering Job At Google!

In the tech industry, Google is one of the most sought after companies in the world among techies. Google treat engineers as rock stars at the company and they are also paid like they are everything for the company. While Indians start at $70,000 to $90,000 packages, software engineers rake in $118,000 and senior software engineers earn around $152,985, on an average. Around 2.5 million job applications are received by the company every year but they hire only 4,000 people. So if you are an aspiring Googler, here comes a list of required skills, published by Google in Education team.

The company says that computer science knowledge should be very strong in every potential candidate. University students can follow this guide to develop their technical skills and engage in hands-on learning too. So here are the skills which Google want to see in their resources before hiring:

1. Coding skills: At least one object-oriented programming language should be learnt by every aspiring Googler like C++, Java or Python, for best coding practices. Candidates can refer to MIT or Udacity for learning these languages.

2. Code testing: It’s not sufficient to know coding, but the candidate should also be an expert in testing the code. Google wants to check bugs, create tests and break a software.

3. Abstract mathematics: Logical reasoning along with knowledge in computer science is also necessary to get hired by Google.

4. Knowledge of operating systems: Knowledge of operating systems is also a must as most of the work will be done on the operating systems only.

5. Artificial intelligence skills: Google is quite fond of robots, which means lack of knowledge in artificial intelligence will not do.

6. Understanding of algorithms and data structures: Google loves fundamental data types like stacks, queues and bags and also algorithms like quicksort, mergesort and heapsort.

7. Cryptography: Cyber security is one of the most important areas in focus now, hence candidates have to learn cryptography to gain success in future.

8. Learn building compilers: If a resource knows how to build compilers then he/she will also come to know how a programme, written in a high-level language for humans, can be translated into a program for machines.

9. Parallel programming: If you are able to conduct several computations simultaneously through parallel programming, then nothing can be better for you.

10. Don’t ignore other programming languages as well: If your skillset features knowledge of JavaScript, CSS, HTML and Ruby too, then it makes you more powerful.


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Google pourrait s’offrir Softcard pour mieux faire face à Apple Pay

D’après les sources de TechCrunch et du Wall Street Journal, Google envisage de racheter une entreprise spécialisée dans les paiements mobiles.

On l’oublie souvent, mais Google s’est intéressé aux paiements mobiles par NFC depuis assez longtemps. Aux Etats-Unis, la firme de Mountain View propose déjà depuis 2011 un service de paiements sans contact baptisé Wallet. Malheureusement pour le géant du web, ce service n’a pas vraiment eu le succès escompté.

 

Mais en 2014, Apple lançât son système de paiements  Apple Pay. En moins de 72 heures, plus d’un million de cartes de crédit ont été enregistrées. Et par ailleurs, le système de paiements NFC d’Apple semble voué à un avenir prometteur.

Mais ce lancement a également causé un regain d’intérêt pour les paiements mobiles. Et il serait logique que Google veuille contre-attaquer.

Selon les sources de TechCrunch et du Wall Street Journal, la firme de Mountain  View s’intéresse à Softcard, une co-entreprise des opérateurs téléphonique américains Verizon, T-Mobile et AT&T, spécialisée dans les paiements mobiles et qui n’a pas non plus réussi à conquérir le marché des paiements mobiles aux Etats-Unis.

Comme nous l’évoquions plus haut, Google dispose déjà d’un produit appelé Wallet. Mais celui-ci a peut-être l’intention de faire cette acquisition afin de mieux s’armer face à Apple (mais aussi PayPal).

L’une des sources de TechCrunch indique que Google s’intéresse partiellement à cette entreprise pour ses brevets ou ses futurs brevets.

Et par ailleurs, d’autres entreprise comme Microsoft ou PayPal se seraient elles aussi déjà intéressées à Softcard. Mais les opérateurs américains auraient favorisé la piste de Google.

Pour l’heure, ces informations ne sont pas encore officielles et les entreprises évoquées ne les ont pas encore commentées.


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L’état du smartphone en France : Google, Apple et Microsoft dominent le marché

Comscore, GfK et Médiamétrie ont collaboré avec la Mobile Marketing Association afin de faire le point sur l’état de la mobilité en France. Et malgré la crise et les difficultés économique du pays, les données compilés permettent de comprendre que le secteur mobile reste très dynamique dans l’hexagone. En 2014, il se sera en effet vendu plus de 18 millions de smartphones (+15% par rapport à 2013). Les 3/4 des mobiles vendus en France sont maintenant des smartphones.

iPhone-6-Plus-iPhone-6-iPhone-5s-iPhone-5c-560x280En base installé, Apple reste le premier fabricant.

30 millions de français sont désormais équipés de mobiles, un chiffre en augmentation de 4,6 millions en un an, ce qui démontre bien l’extrême vitalité du secteur. Du côté des fabricants, le marché semble bien partagé entre 3 sociétés, Google, Apple et Microsoft, qui occupent à eux trois 92% du secteur mobile en France.

Apple-vs-Google-Android-560x270Google et Apple dominent le marché français du smartphone

Google et son Android est présent sur les 2/3 des smarthones (soit 20 millions) tandis que les 10 millions restants se partagent entre les appareils iOS du fabricant Apple (7 millions) et les mobiles équipés du système Windows Phone de Microsoft (3 millions). Comme on peut le constater, on base installée, c’est encore Apple qui reste le premier fabricant de smartphone, même si les ventes actuelles placent Samsung assez nettement devant.


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Pull Stock Market Data into Google Sheets

Researching specific stocks and pulling accurate up to date information can be tedious. Google Sheets cuts out a lot of the busy work and allows you to get the data you need in one convenient location.

With the Google Finance function, you can use Google Sheets to easily keep up with several different financial metrics. This video will show you how to pull real time and historical data directly into a Google Sheet.


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Google Glass now under Tony Fadell, exits Google X

The Google Glass Explorer Program has officially been tapped by Google to shut down. That doesn’t mean that there won’t be any more Google Glass – in fact the opposite, more than likely – it’s just part of the transition process. When a group exits inside Google X, Google’s experimentation lab, it generally has more of a “not quite ready for the real world” vibe to it – now Google Glass is being brought into that real world. The real working world – not necessarily as a consumer product.

Being brought into the real world doesn’t mean Google Glass will be a consumer product. Google suggested today that they’d be continuing their Glass At Work program but have given no schedule for the future of Google Glass in any other respect.

Have a peek at our June 16th feature called Public unconvinced, Google pushes Glass at Work.

Also peek at our most recent feature: Google Glass is still around: so says Google.

Where do I buy glass in the future?

You can’t really – not unless Google re-opens their doors to the public with future versions of Glass. Google suggested today that they would continue to work with Glass, but again, Google suggests that they’re taking Glass to new places as the program exits Google X.

UPDATE: Apparently (for the time being) you can still purchase Google Glass from the Google Play device store online. We do not know how long this will last, but given Google’s current “leaves warehouse” timing of 1-2 business days, it would appear Google has some heavy stock left for now.

UPDATE 2: Google suggests that from next week, they’ll stop taking product orders for Glass. Google will continue to support “companies that are using Glass” – those in the Glass at Work program, that is to say.

Who is in charge of Glass now?

Google Glass, the Glass program, and the Glass team will remain under current manager Ivy Ross, but will be moved to the jurisdiction of Tony Fadell. Fadell is also the chief executive in charge of Nest. Google’s acquisition of Nest was completed as of February 12th, 2014.

Stick around as we continue to gather details about the future of Glass – specifically on how it will or will not be delivered to the public as a consumer product. For now, count on the device and the program to remain “at work.”

Projet ARA : découvrez les nouvelles images du smartphone modulaire de Google

La firme de Mountain View a tenu mercredi 14 janvier sa deuxième conférence développeurs autour du projet ARA. L’occasion de montrer de nouvelles images du dernier prototype… Et d’annoncer une premier test de commercialisation à Porto Rico.

Le projet ARA avance à grand pas. A l’occasion de la deuxième conférence de développeurs, qui s’est tenue aujourd’hui à Mountain View, Google a montré un nouveau prototype de son smartphone modulaire. Baptisé Spiral 2, celui-ci est bien mieux fini que ce que l’on avait pu voir précédemment… Et présente des modules avec de belles images imprimées sur leur coque. Surtout, le Spiral 2 inaugure de tout nouveaux modules, en particulier un, capital, qui permet de se connecter à des réseaux cellulaires 3G, ce qui n’était pas jusqu’alors possible. On a aussi pu découvrir un module haut-parleur, un capteur de pollution ou un dispositif de vision nocturne…
Google a par ailleurs annoncé qu’il entamerait un test de commercialisation du smartphone à Porto-Rico plus tard cette année. Aucune date de lancement n’a en revanche été communiquée.
La toute nouvelle vidéo présentant le projet :


 

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Le cloud a pesé 1 Md€ dans les revenus de SAP en 2014

Sur l’exercice 2014, les activités cloud de SAP ont augmenté de 56%, passant la barre du milliard d’euros de revenus. Le cloud a représenté l’an passé une part de 6,2% des revenus globaux de l’éditeur.

SAP a communiqué ses résultats pour le quatrième trimestre 2014, ainsi que pour son dernier exercice annuel. Au dernier  trimestre, l’éditeur allemand de logiciels professionnels a vu ses activités cloud progresser de 68% (norme comptable IFRS) d’année en année et ses bénéfices d’exploitation reculer de 3%. Concernant son chiffre d’affaires global sur l’année 2014, englobant toutes ses activités de vente de logiciels et de support, SAP communique le chiffre de 17,46 milliards d’euros, soit une augmentation de 4% par rapport à 2013.

Sur l’exercice 2014, les activités cloud de SAP ont pris l’ascenseur, progressant de 56% par rapport à 2013, franchissant la barre du milliard d’euros de chiffre d’affaires (1,09 milliard d’euros). Les logiciels et le support relatifs au cloud computing représentent 6,2% des revenus globaux de l’éditeur en 2014. Ces activités cloud prennent davantage d’importance chez SAP, puisqu’elles représentaient en 2013 4,2% du chiffre d’affaire global. CFO chez SAP, Luka Mucic commente: «Nous avons intensifié les investissements dans le cloud en réponse à une demande plus forte qu’attendue pour nos nouvelles offres cloud. Avec ce puissant basculement vers le cloud et nos revenus de support en progression, nous mettons en place un business plus large et plus prévisible sur le long terme.»


 

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