Twitter, l’outil incontournable de la recherche d’emploi ?

Le 24 février dernier a eu lieu sur Twitter la première journée européenne de l’emploi. Entreprises et candidats étaient donc invités à se retrouver pour organiser le plus grand salon virtuel de l’emploi avec un hashtag commun à tous #votrejob .

Que vous soyez enthousiastes, dubitatifs ou encore “anti”, faisons le point sur l’utilisation de Twitter pour trouver un job. .

Twitter, c’est pour les jeunes …

“Déjà que je ne comprenais rien à Facebook et bien aujourd’hui le consultant de l’Apec me dit qu’il me faut un compte twitter…. Franchement je suis trop vieux pour ce genre de c……. “. Twitter est un outil actuel, un canal de communication, comme les autres, comme le papyrus en son temps ou le bon vieux journal. Bon d’accord, Michel Serres pourrait me tirer les oreilles car il explique très bien dans une de ses conférences visualisable en ligne que l’unité de temps et de lieu ont été bouleversés depuis 2000 ans. L’unité de temps est devenue l’unité de l’instantanéité. Le règne de l’information immédiate. . Que l’on soit jeune ou vieux, que l’on soit d’accord ou non, aujourd’hui Twitter fait partie de l’écosystème emploi. .

Twitter, je sais pas à quoi cela sert …

Avant de se lancer dans une carrière de twittos averti, la première utilisation indispensable de Twitter, c’est la collecte d’information. On nous rebat les oreilles avec le concept de l’infobésité. Oui Twitter peut carrément nous donner une indigestion d’informations. Comme tout outil, sa bonne maîtrise permettra à chacun de mettre en place un plan de veille digne de ce nom dans le cadre de son métier ou de son secteur d’activité. . Mais alors où sont passés mes flux RSS ??? Mes quoi ? La réponse est dans la question. Le flux RSS permet d’obtenir toute l’information sur un sujet en temps réel. Mais l’appropriation des outils de flux n’ont jamais vraiment pris. Alors oui, à mon avis (même si les puristes me contrediront) j’estime que Twitter a supplanté (et enterré) les flux RSS. .

Twitter, c’est un site emploi alors?

2015 va être une année décisive pour Twitter et les offres d’emploi. De plus en plus d’entreprises, de cabinets et de sites emploi diffusent leurs offres sur Twitter. Mais pourquoi ? Pour augmenter l’audience de leurs offres et apporter des contacts potentiels avec des candidats qui ne postuleraient pas par exemple sur le site carrière de l’entreprise. Bref, des recruteurs un peu plus ouverts que la moyenne. Et vous voudriez les éviter ? . Twitter, c’est un lieu où l’on trouve des offres d’emploi mais c’est surtout un lieu de connexion. .

Twitter, le lieu “meetic” de la mise en relation

C’est ce que voudraient tous les recruteurs, tous les candidats (et Twitter ;) ). En créant un évènement européen Twitter rêve de réaliser là où tous les autres ont échoué. Un lieu d’échange et de discussion entre des recruteurs prêts à jouer le jeu et des candidats qui attendent, éperdument pour certains, des entretiens de recrutement pour défendre leurs chances. Alors les 32000 tweets échangés au cours de cette journée ont débouché sur combien de recrutements ? . Alors et vous ? Etes vous #votrejob #emploi #recrutement #Apec1erjob ou #jemepassedetwitter ?


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Tech Salaries In 2015

Tech job market is hot right now. Survey results predict that there are going to be multiple job opportunities in IT in 2015. Mobile app developers, big data engineers, network administrators are going to have huge demand in coming year. Statistics say that, there is going to be 35 to 38 per cent growth in salary packages of IT employees. Today we have listed predicted salaries of IT workers in 2015.

1. IT Management

CIO : $157,000 – $262,500
CTO : $137,500 – $220,250
CSO : $134,250 – $204,750
Vice President : $138,000 – $210,250
Technology Director : $118,750 – $174,000
IT Manager $101,750 – $150,750

2. Project Management and Analysts

Manager: $103,250 – $150,750
Project Manager: $91,250 – $139,250
Systems Analyst: $79,500 – $114,500
Business Systems Analyst: $79,250 – $116,500
CRM Business Analyst: $84,500 – $116,750
ERP Business Analyst: $87,500 – $124,500
ERP Technical/Functional Analyst: $94,750 – $132,000
Developer/Programmer Analyst: $74,250 – $129,000

3. Application Development

Mobile App Developer: $107,500 – $161,500
Applications Architect: $115,750 – $159,500
CRM Technical Developer: $93,500 – $129,250
ERP Technical Developer: $99,750 – $136,750
Database Developer: $98,000 – $144,750
Lead Applications Developer: $106,250 – $148,250
Technical Writer: $55,000 – $85,250

4. Consulting and Systems Integration

Director, Consulting/Systems Integration: $119,750 – $178,750
Practice Manager: $119,250 – $164,750
Project Manager/Senior Consultant: $98,750 – $144,250
Staff Consultant: $77,500 – $108,750
Senior IT Auditor: $111,750 – $155,500
IT Auditor: $94,500 – $134,500

5. Data and Database Administration

Big Data Engineer: $119,250 – $168,250
Data Architect: $119,750 – $164,750
Database Manager: $112,250 – $160,250
Database Admin: $91,000 – $134,750
Data Analyst/Report Writer: $70,750 – $108,250
Data Modeler: $101,750 – $145,250
Data Warehouse Manager: $119,750 – $163,000
Data Warehouse Analyst: $102,500 – $142,500
Business Intelligence Analyst: $108,500 – $153,000
Electronic Data Interchange Specialist: $74,750 – $108,250
Portal Admin: $92,750 – $127,250

6. Quality Assurance and Testing

Quality Engineer – Manual: $63,750 – $88,250
Quality Engineer – Automated: $74,250 – $103,750
Quality Assurance/Testing Manager: $90,000 – $122,500
Quality Assurance Associate/Analyst: $62,000 – $97,500

7. Internet and E-commerce

Sr. Web Developer: $104,500 – $144,250
Web Developer: $73,500 – $122,000
Web Admin: $66,500 – $102,000
Web Designer: $64,000 – $105,500
Ecommerce Analyst: $84,250 – $121,500

8. Networking and Telecommunications

Wireless Network Engineer: $99,000 – $137,500
Network Architect: $115,000 – $165,250
Network Manager: $98,000 – $137,250
Network Engineer: $90,750 – $131,250
Network Admin: $71,250 – $105,750
Pre-Sales Engineer/Technical Engineer: $86,250 – $125,750
Telecommunications Manager: $86,000 – $118,500
Telecommunications Specialist: $59,000 – $91,250

9. Operations

Operations Manager: $65,500 – $93,500
Computer Operator: $34,750 – $48,000
Mainframe Systems Programmer: $61,500 – $85,000

10. Security

Information Systems Security Manager: $122,250 – $171,250
Data Security Analyst: $106,250 – $149,000
Systems Security Admin: $100,000 – $140,250
Network Security Admin: $99,250 – $138,500
Network Security Engineer: $105,000 – $141,500

11. Software Development

Software Developer: $85,500 – $136,250
Product Manager: $101,750 – $145,000
Software Engineer: $96,000 – $147,250

12. Help Desk and Technical Support

Help Desk Tier 3: $55,250 – $74,000
Help Desk Tier 2: $43,750 – $58,000
Help Desk Tier 1: $34,000 – $47,250
Manager: $80,500 – $114,750
Desktop Support Analyst: $52,000 – $77,000
Systems Admin: $65,750 – $100,500
Systems Engineer: $80,250 – $117,500
Messaging Admin: $72,500 – $105,000
Instructor/Trainer: $54,250 – $87,250
PC Technician: $33,750 – $49,750
Business Continuity Analyst: $92,500 – $132,250


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Comparatif international des modes de recrutement: le réseau tout puissant

Comment recrute-t-on à l’étranger ? Job boards, réseaux sociaux, cabinets de recrutement ou sim­ple bouche-à-oreille : quels sont les outils privilégiés par les employeurs américains, chinois, allemands ? Si les jeunes diplômés sont de plus en plus mobiles et prêts à franchir les frontières, la recherche d’un travail à l’étranger nécessite parfois de connaître certaines subtilités des relations candidat-employeur.

Aux Etats-Unis, une personne à la recherche d’un emploi n’hésitera pas à demander à l’un de ses contacts LinkedIn ou Facebook de la recommander pour un poste dans l’entreprise où il travaille. Le groupe Accenture a même créé une application permettant aux candidats externes de trouver, dans leur carnet d’adresses, les employés susceptibles de les aider à postuler. « Les recommandations sont à l’origine de 20 % à 30 % des recrutements aux Etats-Unis. Cela peut aller jusqu’à 50% pour des entreprises qui ont un programme performant, avec des outils technologiques et des gratifications adaptées », indique Gerry Crispin, fondateur du cabinet de conseil et d’analyse CareerXRoads.

L’enquête annuelle menée par ce dernier auprès de 250 grandes entreprises place les recommandations à la première place des sources de recrutement outre-Atlantique, juste devant les candidatures déposées sur les sites carrière des entreprises et les job boards comme Monster ou Careerbuilder. « Un candidat recommandé a quatorze fois plus de chances d’être recruté qu’un autre. On recommande moins facilement quelqu’un de sa famille qu’en Europe et plus facilement des gens que l’on a connus à l’université ou au cours de sa carrière, souligne Gerry Crispin. Les réseaux sociaux sont un outil formidable pour cela. »

2 % des recrutements

En 2013, 78 % des recruteurs américains déclaraient avoir déjà effectué un recrutement sur les réseaux sociaux, selon un sondage de la plate-forme de recrutement Jobvite, contre seulement 32 % en France, d’après une enquête de RégionsJob.

« Les réseaux sociaux donnent accès à de bons candidats mais il faut beaucoup de temps pour les identifier et il est souvent difficile de les faire postuler », souligne Stéphane Wajskop, PDG du cabinet de recrutement 2.0 Careers International. Les employeurs européens y consacrent en moyenne moins de temps que leurs homologues américains. D’après une étude du cabinet Stepstone portant sur sept pays (Autriche, Belgique, Danemark, France, Allemagne, Suède et Royaume-Uni), en 2013, seulement 2 % des recrutements se sont faits sur les réseaux sociaux.

Ces derniers arrivent loin derrière les job boards (21% des recrutements), les services publics de l’emploi ou même les offres d’emploi publiées dans la presse (10 %). Or le « recrutement social » correspond beaucoup plus aux attentes des jeunes diplômés, selon M. Wajskop. « Les nouvelles générations veulent aller au-delà du marketing traditionnel qui met en avant la marque, de belles images, des valeurs politiquement correctes. Avant de postuler pour un job, ils veulent pouvoir se faire une idée du travail et échanger avec leurs futurs collègues et managers. C’est particulièrement vrai pour ceux dont le profil est recherché comme les ingénieurs. »

Les outils varient entre les marchés sous tension et les autres

Si elles sont moins actives sur les réseaux sociaux que leurs homologues américaines, les entreprises européennes savent en revanche tirer parti de leur propre réseau. « Près d’un quart (24 %) des recrutements se fait via des sources internes : mobilité interne, candidatures reçues sur le site carrière de l’entreprise, cooptation et activation des réseaux du recruteur », affirme Stepstone. Mais l’usage de ces outils varie selon les pays.

« Il y a une grosse différence entre les marchés sous tension et les autres », souligne François de Boutray, PDG d’Aktor Interactive, une agence lyonnaise de communication en ressources humaines. En Allemagne, la pénurie d’ingénieurs dans un certain nombre de secteurs conduit les entreprises à être plus proactives sur les réseaux sociaux où elles espèrent dénicher la perle rare.

« Non seulement elles n’attendent pas que le poisson morde à une offre d’emploi mais elles vont souvent chercher des candidats à l’étranger, en Espagne, en Grèce ou même en France. Cependant, les entretiens restent très importants et passent à la loupe le parcours professionnel d’un candidat », dit M. de Boutray, qui ajoute que la Suisse aussi est à la recherche de talents : « Il n’y a pratiquement pas de marché caché, la plupart des emplois disponibles sont publiés via les job boards, explique-t-il. A l’inverse, l’Italie est beaucoup plus friande du recrutement relationnel. Ce qui empêche les personnes n’ayant pas de réseau sur place d’avoir accès à une grande partie des opportunités. »

Priorité aux job boards chez les émergents

Dans les pays émergents, l’accès aux emplois disponibles est également assez facile, d’après les spécialistes du recrutement. Cela s’explique, d’une part, par la difficulté pour les entreprises de trouver de nouveaux talents en interne, d’autre part par l’adoption récente des outils de diffusion d’offres d’emploi en ligne. « En Inde, les job boards surpassent largement les autres sources de recrutement avec un volume d’embauche supérieur de 50% aux cabinets de recrutement ou au bouche-à-oreille », affirme le groupe britannique de recrutement digital Evenbase.

En Chine, l’essor des réseaux sociaux professionnels, parmi lesquels le français Viadeo (20 millions de membres en Chine), promet de révolutionner le marché du recrutement. « Le réseautage est un aspect fondamental de la culture professionnelle chinoise. Par conséquent, les réseaux sociaux ont un gros potentiel », y compris en matière de recrutement, souligne Evenbase dans une étude intitulée « Digital Recruitment, The Hottest Markets in 2020 ».

Cette étude indique aussi qu’un quart des consultants en recrutement au Brésil sont âgés de moins de 21 ans et donc plus sensibles à l’usage des réseaux sociaux. « Le modèle des job boards, s’il est un peu moins en forme en Europe et dans les pays anglo-saxons, reste très utilisé dans les pays émergents », note toutefois François de Boutray. Sur tous les continents, il n’y a, selon lui, que deux outils indispensables pour trouver un emploi : le CV et la lettre de motivation.

(Semestriel Le Monde « Campus », novembre 2014).


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Mooc : comment en parler sur son CV ?

Programmes de formation accessibles en ligne et ouverts à tous, les Moocs sont de plus en plus populaires en France, et auprès des recruteurs. Si vous avez suivi ce type de programme, voici quelques conseils pour le mettre en valeur dans votre CV.

« Lorsque je vois apparaître un Mooc sur un CV, il s’agit d’un véritable point d’intérêt sur lequel je vais m’attarder lors de l’entretien d’embauche », constate Jacques Froissant, responsable du cabinet de recrutement Altaïde. Pour Claire Romanet, fondatrice du cabinet Elaee : « cela montre que le candidat est au fait des nouvelles technologies, qu’il essaie de progresser professionnellement… Ce ne sont que des points positifs sur un CV. » À condition bien sûr de l’exploiter correctement.

Classez les Mooc dans la rubrique Formation

Pour valoriser votre Mooc comme il se doit, « intégrez-le au premier niveau de lecture dans la rubrique Formation, et pas comme dernière expérience », souligne Claire Romanet. Précisez également l’objet de cette formation et son contexte : volume horaire, dates, certification… « Certains employeurs ou chargés de recrutement en entreprise ne sont pas au fait de ces nouveaux usages. Cela mérite ainsi au moins deux lignes, pas seulement l’intitulé comme on le voit trop souvent », ajoute-t-elle. Sachez ensuite que tous les Moocs n’ont pas la même valeur. « Un Mooc de deux fois trois heures ou un autre de plusieurs mois avec un contrôle continu et des niveaux intermédiaires ne devront pas figurer de la même manière. Inutile donc de lister des Moocs de moindre importance », relève Jacques Froissant.

Un Mooc ne fait pas automatiquement de vous un expert

D’autre part, évitez de vous faire passer pour un expert à la suite de la formation. Pour Judith Tripard, consultante senior pour le cabinet Clémentine : « sous prétexte que certains candidats ont suivi un Mooc, ils s’autoproclament compétents dans un domaine. C’est le cas par exemple dans l’IT. Avoir suivi un Mooc sur le Big Data ne vous permet pas de vous déclarer ingénieur Big Data. » Autre exemple, un Mooc en community management de trois jours ne fera pas de vous un spécialiste des réseaux sociaux. « Cela ne remplace pas la pratique », insiste Jacques Froissant. D’autant que les recruteurs vous questionneront d’office sur le contenu de la formation. Pas la peine donc d’en faire des tonnes.

Pensez aux certifications pour se différencier

Enfin, puisque suivre un Mooc relèvera dans la grande majorité des cas de votre propre chef, essayez autant que possible de pouvoir attester du suivi régulier de la formation. « Certains Moocs délivrent des certificats. Joindre au CV le certificat de réussite de l’examen final peut permettre de se différencier. Sans cela, il est impossible de vérifier l’assiduité réelle », témoigne Judith Tripard. Autre astuce proposée par Jacques Froissant : « certains Moocs font l’objet d’un badge sur LinkedIn. Cela signifie que le candidat a bien reçu la certification. Il s’agit alors d’une très bonne valorisation. » Pensez donc à bien vous renseigner sur la valeur d’un Mooc avant de vous engager… Pour en tirer partie comme il se doit !


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Résultat du sondage : les freelances sont-ils heureux ?

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Vous avez été 250 à répondre à toutes les questions de notre sondage “Les freelances sont-ils heureux”, à nous dire pourquoi vous étiez freelance, ce que vous aimiez dans votre vie de freelance (ne pas avoir de chef ! ), ce que vous aimiez moins (ne pas avoir de clients ! ). Voici les résultats que nous sommes très contents de pouvoir partager avec vous :

C’est la liberté de travailler comme bon leur semble qui a motivé les choix de devenir freelance des interrogés. La plupart d’entre eux ont choisi librement de devenir freelance et non par contrainte.

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Et aujourd’hui, c’est toujours la liberté de s’organiser librement (80%) et l’absence de lien hiérarchique (60%) qui apparaissent aux freelances comme les plus grands avantages de leur statut.

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Cependant, tout n’est pas toujours rose dans la vie de freelance. Les principales difficultés au quotidien résident dans le fait  de trouver des clients (52%) et surtout, de trouver des clients qui payent (12%). 

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La majorité des freelances ayant répondu au sondage ne souhaitent pas pour autant redevenir salariés, et ce, même si un poste en CDI leur était proposé. Beaucoup jugent leur situation actuelle meilleure par rapport à celle qu’ils connaissaient lors de leurs expériences précédentes.

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Avec une croissance de 85 % ces dix dernières années, le « phénomène freelance » est assez récent, donnée confirmée par ce sondage. Plus de 70% des freelances inscrits sur Hopwork se sont lancés il y a moins de 5 ans et les « moins de 35 ans » représentent plus de 60% des sondés.

Et voilà ! La plupart des freelances sont donc heureux et c’est ce qui compte…


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Brand YOU Year: How to Brand Yourself Without Sounding Like Everyone Else

If you’re motivated about your career, passionate about doing your best work, and are highly creative, then I’ve got news for you: so is everyone else.  We’ve just announced our annual list of the words that make you go ‘meh’ – the most overused, underwhelming buzzwords and phrases in LinkedIn profiles of 2014 across the world. The number one offender? ‘Motivated.’

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The new year inspires many of us to start thinking about our careers and explore new job opportunities.  Before you begin your search, take some time to think about your professional brand and how you want to Brand You. Pledge to banish trite buzzwords and take these easy steps to reinvigorate your profile.

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Your Summary:  You’ve already promised to bump those meaningless buzzwords from your LinkedIn profile (right?).  That’s a great start! But don’t go to your trusty thesaurus and replace one buzzword with another lackluster adjective.  Rather, include examples that illustrate how you’re motivated. How did your motivation ultimately drive business results?  Has your motivation helped champion a program?  You can easily illustrate your motivation by uploading examples of your work in your LinkedIn summary that  showcase the results you achieved.

Your profile photo:  Take a good look at your profile photo.  Does it reflect the professional image you want to portray? Your profile photo counts more than you may know – you’re 14 times more likely to have your profile viewed if you include a photo, so make sure it shows your best professional self. Think a work-appropriate outfit, focus on head and shoulders, and a confident smile.

Your headline:  Don’t bury the news! Write a strong headline that makes people want to learn more about you.  For example, “Mary Smith: Solving complex technical problems through code” says so much more than “Mary Smith: Software Engineer.” And if you’re actively seeking a job, say it in your headline.

Your good side:  What better way to show you are a motivated person than by including your volunteer experience and the important causes you support? It can also help you get hired. Forty one percent of professionals surveyed by LinkedIn in the U.S. alone stated that when they evaluate candidates, they consider volunteer work equally as valuable as paid work experience.

Your skills:  Listing your skills on your profile makes you 13 times more likely to be viewed on LinkedIn.  Your skills are a visual overview of your professional brand – an easy, digestible way to show what you can do. You’ll want to include a mix of high level and niche skills to ensure you show up in search results and showcase your range of talent.

Your champions: Let others vouch for you by asking for recommendations. To get the best recommendation possible, ask someone who has worked with you to provide specific examples of your skills and talents. Feel free to gently remind them of the projects you worked on together as a jumping-off point.

With these simple updates to your profile, you can set yourself apart and help brand YOU as the best candidate for your next opportunity. Get started today.


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Java Developers, Security Professionals In High Demand At IT Job Market!

According to a report from IT job portal Dice, unemployment rate for software developers and engineers has been half of the total national unemployment rate (6.1 percent) in the third quarter of 2014.

IT job market, across the world, experiences very low unemployment rates and high demand too. The market is also going to be stronger in 2015. Companies which are into building new products and proprietary internal systems will require more software developers and software engineers throughout the year.

According to a report from IT job portal Dice, unemployment rate for software developers and engineers has been half of the total national unemployment rate (6.1 percent) in the third quarter of 2014. Java professionals are on the top of the demand list and Java is the most sought-after skill in the IT sector. Java is also an integral part of open source movement. Java is still the most popular programming language and demand for Java programmers looks quite healthy.

Security professionals are also on high demand. Every year job postings for security professionals see a hike as cyber security and information security are two most important segments for any organisation now. In future too, there is very little scope that demand for security professionals will see a decline. Cyber threats are on a rise and demand for skilled security professionals is also on a rise as they are required to detect vulnerabilities, close breach threats and ensure cybercrime prevention. Hacking is the last thing a company wants in its portfolio and security teams are being built for image retention in the market.

.NET professionals and sales people are also on the list of the most demanded professionals in the IT job market. Other skills, apart from Java, which are sought the most include JavaScript, CSS and HTML coding. Mobile technology is on a boom and mobile specialists are coveted professionals for any IT company now. Demand for tech professionals has been steady for years now with soaring compensation packages.


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Emploi des cadres : 2015 sera une année de reprise lente mais sûre

À quoi ressemblera 2015 ? Quelles perspectives pour cette nouvelle année concernant le marche de l’emploi des cadres ? L’analyse des experts du cabinet de recrutement Hudson.

Le nombre de recrutements de cadre baisse régulièrement depuis 2012 ( 179 700 recrutements), 2013 (163 400) et enfin 2014 (163 200). Quid de 2015 ?

Les récentes prévisions de l’OCDE, du FMI ou de la Commission Européenne varient entre 0.7 et 0.9% de hausse du PBI français pour 2015. La prudence reste donc de mise.
Pour le cabinet de recrutement Hudson, 2015 s’annonce donc comme une reprise “lente mais sûre“, une “année de transition” qui préparera 2016 (de plus franche reprise).

Des contrastes selon les secteurs

Côté Industrie, dans l’Automobile, la production – après une année 2014 plutôt tonique – a ralenti en fin d’année et risque de rester atone en 2015. Le BTP et la Construction continueront de souffrir du fait d’une pénurie de projets publics et d’un faible taux de construction de logements. De l’avis d’Hudson, les mesures prises pour relancer le secteur ne devraient se faire sentir que fin 2015.

L’Agroalimentaire est toujours pris en tenaille entre la pression continue des consommateurs exigeant des prix bas et nos difficultés à l’export. Les prévisions d’investissement du secteur ne dépasseront sans doute pas 9%.

Pas de réelles surprises pour les secteurs porteurs qui restent les mêmes que les années précédentes : Aéronautique, Chimie, IT, R&D, Énergie, Logistique et Assurance…

Quant à la reprise sans cesse différée de la banque, elle devrait enfin intervenir en 2015.

Côté fonctions, les ingénieurs et les commerciaux devraient avoir, cette année encore, de belles opportunités à saisir pour ceux qui oseront sauter le pas. Les nouveaux métiers autour du e-commerce, du Big Data et du webmarketing absorbent des compétences entre technique, logistique et marketing.


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Recrutement mobile : avantages et inconvénients

En 2015, 55% des annonceurs recruteront via smartphone selon l’étude JobAroundMe menée en partenariat avec HR Speaks auprès d’entreprises françaises interrogées en novembre 2014. Entrepreneurs, HRBP, DRH, RRH, le recrutement mobile est peut-être l’un de vos chantiers 2015, voici donc les chiffres importants de cette infographie tirée des réponses de ces 158 entreprises et directions des RH françaises.

Recrutement mobile : les 3 chiffres clés

Parmi les entreprises répondantes :

  • 40% sont passées au recrutement mobile
  • 26% permettent aux candidats de consulter les annonces grâce à un site carrières dont le développement est optimisé pour être visible sur tout type d’appareil (ordinateur, smartphone, tablettes).
  • 14% permettent aux candidats de postuler via leur smartphone (en envoyant son CV via LinkedIn, DropBox, Google Drive et JobAroundMe, par exemple).

(Comme le précise CultureGeek : en 2014, 18 millions de smartphones ont été vendu, soit une augmentation de +15% par rapport à 2013, et rappelons aussi que les 3/4 des mobiles vendus en France sont maintenant des smartphones, selon les instituts comScore, GfK et Médiamétrie)

Recrutement mobile 2014 : motivations versus freins

Côté avantages :

  • répondre à un nouvel usage des candidats (68%)
  • gain des candidats surfant sur un site carrières via leur smartphone (64%)
  • modernité et innovation face aux concurrents, un plus côté marque employeur (57%)

Côté inconvénients :

  • mise en place technique adaptée à mon SI (49%)
  • dégrader la qualité de la candidature (25%)
  • coût (22%)
Pour finir, l’étude nous éclaire également en livrant le top 3 des secteurs ayant intégré ce nouveau mode de recrutement :
Audit-Ficalité et Banque-Assurances (12% ex æquo), puis Hôtellerie-Restauration (10%) et Informatique (8%). Le m-recrutement est donc une réalité depuis 2014 et se développera davantage naturellement en 2015. Alors, et vous ? Où en êtes-vous avec cette pratique innovante en passe d’entrée dans la norme ?
Infographie-Recrutement_Mobile-by_JobAroundMe


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10 Most-Required Skills For An Engineering Job At Google!

In the tech industry, Google is one of the most sought after companies in the world among techies. Google treat engineers as rock stars at the company and they are also paid like they are everything for the company. While Indians start at $70,000 to $90,000 packages, software engineers rake in $118,000 and senior software engineers earn around $152,985, on an average. Around 2.5 million job applications are received by the company every year but they hire only 4,000 people. So if you are an aspiring Googler, here comes a list of required skills, published by Google in Education team.

The company says that computer science knowledge should be very strong in every potential candidate. University students can follow this guide to develop their technical skills and engage in hands-on learning too. So here are the skills which Google want to see in their resources before hiring:

1. Coding skills: At least one object-oriented programming language should be learnt by every aspiring Googler like C++, Java or Python, for best coding practices. Candidates can refer to MIT or Udacity for learning these languages.

2. Code testing: It’s not sufficient to know coding, but the candidate should also be an expert in testing the code. Google wants to check bugs, create tests and break a software.

3. Abstract mathematics: Logical reasoning along with knowledge in computer science is also necessary to get hired by Google.

4. Knowledge of operating systems: Knowledge of operating systems is also a must as most of the work will be done on the operating systems only.

5. Artificial intelligence skills: Google is quite fond of robots, which means lack of knowledge in artificial intelligence will not do.

6. Understanding of algorithms and data structures: Google loves fundamental data types like stacks, queues and bags and also algorithms like quicksort, mergesort and heapsort.

7. Cryptography: Cyber security is one of the most important areas in focus now, hence candidates have to learn cryptography to gain success in future.

8. Learn building compilers: If a resource knows how to build compilers then he/she will also come to know how a programme, written in a high-level language for humans, can be translated into a program for machines.

9. Parallel programming: If you are able to conduct several computations simultaneously through parallel programming, then nothing can be better for you.

10. Don’t ignore other programming languages as well: If your skillset features knowledge of JavaScript, CSS, HTML and Ruby too, then it makes you more powerful.


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